Vous voulez optimiser vos conditions commerciales, adapter vos grilles de coefficients à vos métiers, sécuriser votre recours au travail temporaire sur les plans juridique et opérationnel, mettre en place des objectifs de service ?

La tendance des acheteurs et du marché est de négocier un coefficient d’achat multiplicateur moyenné pour l’ensemble des sites, ce qui peut engendrer des fortes disparités de qualité de service.

La négociation de coefficients moyens impacte la qualité de service aux opérationnels.

“Le coefficient d’achat moyenné génère des effets indésirables.”

En effet, la marge brute réalisée par vos agences de travail temporaire est très dépendante de la rémunération globale de l’intérimaire (taux horaire de base + primes + majoration) et est impactée par tous les coûts contraints et le CICE. Le « point mort » (en deçà duquel une agence est en marge brute négative) et donc la définitiondu coefficient intérim peut fortement varier selon le site et les modes de consommation de l’intérim (heures supp, heures de nuit, travail le week-end, les jours feriés…).

Avec des grilles de coefficients par catégorie, il est possible d’avoir, sur une même catégorie, une marge brute positive élevée, si l’intérimaire ne bénéficie d’aucune prime ni majoration et à l’inverse une marge brute négative si l’intérimaire bénéficie de primes. Cet écart s’est accentué au 1er janvier 2015 avec le pacte de responsabilité et ses impacts sur les allègements de charges sociales sur les bas salaires.

Exemple de différences de charges pour une même qualification mais des horaires différents :

La réalité opérationnelle est qu’un responsable d’agence de travail temporaire est payé sur la marge brute dégagée par ses intérimaires et que un coefficient moyenné sur l’ensemble du territoire peut générer des effets indésirables :